LE CHEVAL MAL ELEVE



Pour les animaux comme pour les enfants, il y a deux choses, l'éducation d'une part et l'apprentissage d'autre part.
Selon si on est humain ou animal, on parlera plus de dressage pour les chiens et les chevaux et d'apprentissage pour les enfants. Le terme dressage a une connotation péjorative pour les humains, qui dit dressage dit : costaud, viril, voir brutal, qui casse le caractère. De nos jours, le dressage a une toute autre valeur mais il faut toujours éviter de l'employer pour les petits humains si nous ne voulons pas voir arriver chez nous, les services sociaux.


A noter qu'on parle d'école aussi bien pour les hommes que pour les chevaux : grandes écoles et haute école.
Par contre l'obéissance donc l'éducation s'adresse à tous, c'est la base pour vivre en société.
Pour les jeunes humains comme pour les animaux, obéir et être bien élevé permet d'avoir sa place en groupe, être apprécié et surtout respecté. Si, bien entendu, l'éducation reçue, a fait entrer ce critère dans les réflexes de la personne ou de l'animal.

Rien de plus navrant que de voir - un enfant hurler au milieu des rayons d'un supermarché, réclamant bonbon ou jouet que sa mère ne veut pas lui donner - un
enfant qui ne dit ni bonjour, ni merci, ni au revoir - un enfant qui va mettre ses bottes pleines de boue sur les sièges de la voiture...

Idem pour le chien qui aboie au vent, qui attaque tout ce qui bouge, qui vole dans les assiettes sur la table.

Le cheval lui aussi fait ce genre de chose, il marche sur les pieds, il botte, il mord, il vous arrache les rênes pour brouter, mais à la différence des deux autres modèles, on lui attribue rarement le terme de mal élevé.

Il ne faut pas mélanger, l'enfant qui lit mal, le chien qui a peur de passer sur une passerelle ou le cheval qui tire au renard, là on est dans le domaine de l'apprentissage ou du dressage.



Il peut y avoir confusion avec le terme "éducation nationale", d'ailleurs à notre époque beaucoup de parents permissifs, ou prétextant travailler abandonnent leur rôle d'éducateurs, et laissent à l'institutrice ou à l'enseignant, l'apprentissage de la politesse, de la propreté et du savoir-vivre en société, ce qui n'est pas de leur responsabilité, l'enseignement du français, des maths et de tout le reste est déjà une rude tâche. Ce manque donne des soucis, surtout qu'il ne vient jamais à l'esprit de ces parents qu'obéissance ou bonne éducation égal sécurité. On se lave les mains pas pour faire plaisir mais bien pour les microbes, on dit bonjour pour communiquer avec les autres et montrer notre respect, on ne braille pas à tout va, uniquement parce qu'on est capricieux...


Pour les chiens, c'est bien pareil, et comme pour les enfants, on sait bien dire "oh qu'il est mal élevé de grogner après tout le monde ", ou de "courir après les voitures" chacun comprendra le danger qu'il y a à faire n'importe quoi, n'importe quand, se faire mordre par un plus gros ou passer sous les roues de la voiture sera la récompense de cet indiscipliné.

Pour le cheval, la notion d'être mal élevé, est mélangée avec un mauvais dressage, c'est une erreur. On peut comprendre qu'un cheval fasse mal des "épaules en dedans", ou aborde mal un obstacle faute de dressage ou plus souvent d'erreur de commande du cavalier. Le cheval mal élevé, ça existe, et là comme pour les parents, comme pour le maître du chien, le propriétaire d'un tel cheval est le seul responsable de ce manque d'éducation.

Le cheval mal élevé est une bombe à retardement, c'est l'insécurité pour lui et pour tous ceux qui l'approchent, et ça peut tout à fait se corriger et mieux s'apprendre dès son plus jeune âge ou à son arrivée chez vous. N'importe qui peut apprendre le respect à son cheval, c'est de la logique. Par contre, il faut prendre des cours avec des professionnels pour savoir monter, et dresser son cheval, hélas le moniteur ou l'instructeur ne vous apprendront jamais à éduquer votre monture car pour eux soit c'est évident, soit c'est sans importance, puisqu'on ne gagne pas de médailles sur ce terrain là…

Un cheval bien éduqué sera plus facile à débourrer, il sera calme et confiant et connaîtra déjà les limites à ne pas franchir.

La première erreur dans la vie d'un cheval vient des éleveurs, la course au temps et à l'argent priment sur l'intelligence et la logique. Séparés trop tôt de leur mère, les poulains de 6 mois sont souvent mis en groupe mais entre eux... grave erreur, tout comme les chiens, leurs parents ont des tas de choses à leur apprendre, ne serait ce que la sociabilité... Du coup, on retombe sur le schéma de l'enseignant qui doit apprendre les règles de la vie en plus des matières traditionnelles, l'humain va donc devoir apprendre à l'animal ce que ses parents n'ont pas pût faire, malgré pour ceux-là, leur envie de leur communiquer les bases essentielles de leur vie.

Le problème, le plus important, est que l'humain doit descendre de son trône et doit connaître le comportement de la vie du chien ou du cheval pour pouvoir lui enseigner toutes les choses à savoir et à pratiquer pour, en plus de pouvoir vivre avec ses congénères, vivre avec les humains en bonne harmonie.

J'ai relevé dans vos courriers quelques exemples, je me limite à ceux trouver depuis janvier 2007, sinon il me faudrait 20 pages au moins.



Votre cheval est t'il mal élevé ou de bonne éducation ?



J'aurais toujours une certaine tolérance vis à vis des chevaux d'instruction, utilisés même dans les meilleures conditions, ils ne peuvent pas bénéficier d'une bonne éducation, certains seront gentils et attentifs mais d'autres dévorés par la jalousie ou la peur feront de grosses bêtises faute de stabilité affective.

Car le mot est bien là, AFFECTION, quand on aime, on protège, on soigne, on nourrit, on apprend etc. et en retour, l'élève nous rendra cette affection en appliquant les règles que nous avons imposées. Cela peut paraître simpliste mais déjà en faire la réflexion peut ouvrir les portes à un dialogue et solutionner des situations et des comportements que l'on a laissés par ignorance ou manque de temps, prendre de l'ampleur et pourrir simplement la vie...

Le cheval " malade " pour qui il ne faut pas confondre mauvaise éducation avec tares données par l'homme comme les tics à l'appui, de l'ours, taper contre sa porte, emprisonner ces coureurs de prairie est un supplice et beaucoup cèdent à une forme de démence... Merci Monsieur !

* On retrouve l'éternel cheval qui arrache les rênes pour brouter : cela vous brise les épaules, brûle les mains et use le moral.

Qui a, un jour laissé filé ses rênes pour permettre au cheval de manger cette belle herbe bien verte ? Mais avez-vous penser qu'une telle autorisation sera redemandée et même devancée à n'importe quel moment dès que l'herbe apétante sera à ses pieds ? Que vous soyez en train de discuter, de marcher ou de lire votre carte IGN... le cheval se servira tout simplement et lutter contre le poids de l'encolure et tête ; trop souvent le seul moyen employé sera de plomber les dents... du déjà vu !

Donc je suggère que lorsque vous décidiez de laisser manger votre cheval, il faut convenir d'un code, le mien étant de mettre pied à terre et là seulement, il a le droit de brouter (après que j'ai ouvert la muserolle et pour le plus sage enlever le mors.
Si le cheval prend l'initiative de le faire sans mon accord ou pire de le faire en marchant, une branchette par-ci une touffe par-là, c'est la claque et un NON sévère et en prime pas d'arrêt gourmandise. Ils comprendront très vite. Mes chevaux ne le font jamais avec moi, par contre ceux qui ont été plus tendres avec eux, ont droit de tant à autre à tentative, mais gare au brin d'herbe coincé dans les dents, je n'hésite pas de mon cheval à plonger dans le bec du fautif pour en retirer l'objet du délit. NON c'est NON et je ré explique au cavalier le pourquoi du comment.

* Le cheval qui se couche au montoir : là aussi il faudrait se poser la question du "pourquoi ?".

Bien souvent se sont des chevaux qui sont trop sanglés, la virilité n'étant pas de mise avec les chevaux, il ne faut pas serrer une sangle au point de l'étouffer de peur que la selle ne tourne. Ce garrot imposé avec notre poids en plus, et voilà le cheval qui s'effondre et ne se couche pas pour le plaisir ou par vice. La sangle avec élastique et le collier de chasse sont de bons compromis pour un sanglage respectueux. Même à l'obstacle un cheval saucissonné n'aura pas le bon geste sur les barres, handicapé dans son souffle et dans son mouvement.
J'ai connu un cheval qui se couchait par vice comme le disait les pro, en fin de compte il avait un très mauvais dos et une grosse selle portugaise qui l'écrasait encore plus, pour en donner la preuve, je l'ai monté à cru, le cheval n'a pas bougé une oreille, j'ai même fait les 3 allures sans défense.

* Le cheval qui arrache la poche de votre veste ou qui mord pour y pendre un sucre. Bel exemple de cheval mal élevé et de cavalier qui ressemble à un distributeur de cacahuètes... Le fautif : celui qui donne à manger gratuitement à n'importe quel moment. La victime : le cheval qui croit qu'on peut se servir à tout va et le dindon de la farce celui qui ne connaît pas le comportement permissif du cavalier et qui va se faire mordre ou arracher la poche.

Là une simple claque ne suffira malheureusement pas, car ce n'est pas en une fois que le cheval qui aura pris cette fâcheuse habitude, comprendra pourquoi on lui refuse d'un coup ce qu'on a toujours laissé faire.

On peut essayer d'avoir quelque chose de mauvais dans la poche un bonbon a la moutarde ou au poivre (on en trouve dans les magasins de farces et attrapes. Si le cheval devient un mordeur méchant, alors la méthode des palefreniers dans les écuries de course peut aider.
Prendre une grosse courgette ou un gigot CHAUD (c'est un peu dommage); le placer à l'endroit que le cheval a l'habitude de mordre ceinture ou bras, bien vous protéger car il ne faut pas que vous vous brûliez et mettre par-dessus un tissu, afin que le contrevenant ne voie pas la supercherie, s'il mord dedans il se brûlera et ne recommencera plus, mais comme je vous l'ai dit c'est une méthode dure, efficace mais brutale. Il vaut mieux dès le départ ne pas donner à manger à votre cheval pour ses beaux yeux. Le sucre ou autre = récompense, même si vous ne le faites pas bosser, une jambette, une révérence, une mise à genou. Par contre, vous arrivez au pré, les chevaux arrivent au galop, mettez vos gâteries dans un seau ou à même le sol, vous serez content de leur apporter quelque chose eux auront leurs gourmandises sans faire de racket ou arracher les vêtements.

* Le cheval qui ouvre sa porte : signe de grande intelligence et d'ennui... pas de mauvaise éducation

* Le cheval qui ne sait pas rester seul et casse les barrières : là je ne trouve pas d'excuses.

Ne plus sortir le deuxième cheval ou traîner derrière soi le " pénible " n'est absolument pas envisageable. On peut faire beaucoup pour le bien être de ses chevaux mais il ne faut pas en devenir esclave.

Oui les chevaux sont grégaires et supportent mal de rester seuls mais de là à franchir barrières, fils électriques ou barbelés, il y a un net manque d'éducation. Trop souvent le cavalier accepte disant que c'est normal, mettre sa vie en danger est une démonstration qu'à quelque part, vous avez omis un chapitre.
Un cheval sait rester seul, il faut progressivement le lui apprendre, commencez par le box, si vous êtes chez vous, car la situation se présente avec 2 chevaux ou lorsque tous les chevaux partent sauf un. La première fois que j'ai laissé El Gato seul, il n'a pas forcé sa porte, il a juste piétiné sa paille jusqu'à en faire de la sciure, il avait 3 ans, puis il a vu que l'autre cheval revenait, et que tous les deux avaient la même ration.

Ensuite il s'est contenté de hennir. Une fois au pré, il a fait quelques tours de colère avec coup de cul en prime puis les autres fois il s'est contenté de hennir un peu.
Il a vite compris que ce n'était pas la fin du monde. Pour les chevaux qui prennent peur, rien ne vous empêche de demander de l'aide d'un tiers (uniquement au début de l'apprentissage une ou deux fois) qui restera avec lui pendant que vous vous échapperez une petite heure, l'isolé reportera son attention sur le nouveau venu même s'il n'a que deux jambes. Par contre si votre cheval devient un forcené, et défonce les clôtures ne pas hésiter à en mettre une plus costaud, les charolais restent bien dans leur pré, un cheval ne peut pas être pire, si vous êtes présent quand il charge la porte, prenez la chambrière et astiquez-le.
C'est sa vie qu'il met en danger une fois dehors à divaguer, imaginez le face à un camion.
Cela demande du temps au cavalier et ceux-ci en manque trop souvent, pour faire autre chose que de monter sur le cheval.... pour l'exemple, j'ai refusé cet été, 4 chevaux individuellement qui étaient incapables de rester seuls.

* Le cheval qui ne veut pas être devant : C'est un cheval qui manque d'assurance, le fait d'être en groupe et de suivre les autres c'est tellement facile, le problème est qu'un jour ou l'autre vous pourriez avoir besoin de laisser le groupe pour agir différemment, donc là plus que d'être mal élevé, c'est un manque de dressage. (à voir dans un autre chapitre)
* Le cheval qui ne veut pas être dépassé voir dressage

* Le cheval qui ne veut pas sortir seul
voir dressage

* Le cheval qui bouge au montoir
, c'est du dressage mais le cheval qui ne bougera pas d'un centimètre les sabots mais s'écartera quand même du montoir sera un facétieux animal, limite mal élevé, une subtilité que l'œil averti voit de suite.

* Le cheval qui botte humains et chevaux. Dans un groupe de chevaux, on ne voit pas un cheval qui botte tous ces congénères juste pour le plaisir, le coup de pied part souvent suite à un jeu trop brutal ou une bagarre ou encore une jument qui remet à sa place un étalon trop empressé. Jamais on n'a vu de jument taper à tout va, surtout quand elles ont un poulain.
Alors pourquoi tolérer ce comportement avec l'humain, sous prétexte que c'est un tapeur, on invente même le ruban rouge dans la queue... c'est comme autoriser votre gamin à vous donner un coup de pied parce que ça l'amuse... et puis quoi encore !

Si le poulain est très jeune, lui attraper le postérieur au vol, le garder un peu en main, évidement cela demande de l'agilité de votre part, mais je peux vous assurer que cela va tellement lui déplaire qu'il ne remettra pas ça.
La correction bête de la badine est la plus souvent employée.

Là l'humain ne descend pas au niveau du cheval, il fait n'importe quoi, la cravache comme la badine doivent être employées avec finesse et au bon moment. J'ai vu des cavaliers suite à une ruade ou l'envoi d'un coup de pied, taper sur le postérieur... du coup le cheval se défend et envoie encore plus...

On prend aussi, souvent le prétexte que cela arrive à un moment où on ne peut pas le corriger dans les règles de l'art, en promenade, à l'écurie.
Mais personne ne vous empêche de régler ce problème avant de vous retrouver en société, et même ça serait la moindre des choses que de sortir avec un cheval sage pour vous et vos compagnons de route.
J'ai eu pendant 2 ans une jument pur-sang anglais, et chacun sait que cette race est assez spéciale, morsure et coup de pied sont presque une règle d'or. Pour ma part, je voulais être tranquille et ne pas fuir les autres pour éviter l'accident, du coup, j'ai pris mon temps pour apprendre à Lady à garder ses pieds au sol quand elle était sellée. Là aussi, il ne faut pas faire l'erreur de punir un cheval en liberté, qui veut protéger sa bulle. Tout intrus qui rentre sans sa permission dans sa bulle peut en faire les frais, oreilles couchées et autres mimiques indiquent bien si vous avez l'autorisation ou non.
Pour Lady, il fallait déjà la mettre aux ordres, une fois, qu'elle était sous mon contrôle à pied ou en selle. Donc interdiction d'envoyer les postérieurs aussi bien envers les autres chevaux que les humains.
Pour cela, pas de cravache qui aurait fait empirer la situation, je tape tu tapes... mais l'obliger à tourner sur elle-même et du coup bien garder les 4 pieds au sol pour ne pas se vautrer, c'est simple mais efficace, tu tournes le nez dans la queue.

Par contre à pied, quand on voit le cheval qui se prépare à viser, un appel très fort "Lady non" suivie d'une claque, peut éviter le pire, puis en faisant faire un exercice qu'il n'aime pas, " tourne en rond, c'est tout c.. " Ça met du plomb dans la tête. Mais malgré tout un coup de pied part, alors voix plus claques et faire tourner en rond pour punir... Une jambe cassée pour vous c'est l'hôpital, pour l'autre cheval c'est la mort.

* Le cheval qui vous passe dessus. J'ai eu du mal à croire que certains propriétaires étaient si tolérants que leur cheval leur passait dessus et qu'eux s'écartaient au mieux ou se faisait rudement bousculer au moins pire…


J'en ai fait l'expérience avec une petite dame qui avait une comtoise de 3 ans de 900 kg La " brave bête " s'avança sur nous, et nous marcha dessus comme si nous n'étions que deux nains de jardin… une fois, deux fois, interloquée, je demande si l'animal avait quelques rudiments d'éducation, à cela elle me répond, qu'elle sortait du débourrage. " Ca ne vous dérange pas d'avoir son " 52 fillette " sur vos pieds ? " " ben non ! elle est gentille ! "
Ouah ! moi, je n'ai pas supporté à la 3ème avancée car malgré toute la place, on se trouvait toujours sur le chemin de la grosse, un malheureux balai à porter de main, et vlan pile poils devant moi, il m'a servi de rempart, " tilt ! dans le cerveau de la bestiole, tiens le nain de jardin fait mal, bon je contourne et marche sur l'autre, qui braille mais ne tape pas lui…. " oui oui, je fais de l'anthropomorphisme, mais avouez que c'est tentant.
Pendant le reste du temps, la Caroline m'a soigneusement évité, ce qui prouve qu'elle pouvait très vite apprendre et je me suis fait virer par Dame cacahuète…
Ce qui prouve que les gens sont totalement inconscient du vrai mal qu'ils peuvent faire : pas d'amour ou trop d'amour.

Avec Pascale et El Gato nous avons essayé de vous montrer l'utilité d'un outil comme la pelle à neige...

La pelle à neige, légère mais impressionnante aussi

Pascale : "tu pourrais être sérieux et ne pas tirer la langue ?"

El Gato : "RI-DI-CULLE ! j'ai jamais marché sur les gens moi !"

Pascale : "un petit effort !"

El Gato : " bon ça va comme ça ?"

El Gato : "Ah j'ai peur j'ai peur... "

El Gato : " allez c'est bon, je peux avoir le truc orange là ? sans arracher la poche car moi je suis bien élevé, MOAH !!!"

El Gato : "ben tiens je l'avais bien vu !"

 

Donc le cheval mal élevé est le pur produit de l'homme et de la femme, il y a des règles différentes que le cheval ne rencontre pas dans la nature, NOUS c'est déjà énorme.
Il faut lui apprendre à respecter tout notre environnement et notre façon de vivre, et ensuite à pratiquer l'équitation...

Si vous avez des soucis d'éducation comme de dressage, écrivez moi, je pourrais compléter ce chapitre qui peut être très dense…

SOMMAIRE EQUITATION SENTIMENTALE