EQUITATION SENTIMENTALE

 

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2 poèmes en cadeau

 

Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n'écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement
... celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
celui qui se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement
celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux, et réparent les coeurs blessés.

Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant !
Risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !

PABLO NERUDAAfficher la suite— à Cipete _ Jakarta Selatan.

Vous les anti-héros des causes méprisés,

Subissant cette vie bien trop humanisée,

A qui l’on fait reproche de défendre les bêtes,

- La cause de l’humain vaut seule qu’on la traite ! –

Vous qui aimez, soignez sans discontinuer

Les animaux blessés, par l’Homme abandonnés,

Exploités, chosifiés et livrés aux bouchers,

Vous tous qui les sauvez d’une mort programmée,

Vous tous qui dénoncez tous les actes barbares,

Attaquant sans relâche les tenants des pouvoirs,

Qui combattez la chasse, toutes les cruautés,

Corridas, sacrifices, au nom de la « beauté »,

Vous qui pendant des jours arpentez les pavés,

Qui accostez les gens, bien souvent refoulés,

A qui l’on rit au nez, quelquefois insultés,

Quand vous ne recherchez q’à sensibiliser

A la souffrance d’êtres par l’homme ignorée,

Des passants impatients leur conscience éveiller,

Quand vous leur parlez « vie », compassion espérée,

Du respect dû à tous, que vous êtes moqués,

Vous – qui n’aimez pas l’Homme – car vous aimez les bêtes,

- Oui, n’est-ce pas souvent ainsi que l’on vous traite ? –

Aux yeux de bien des gens votre cause est futile,

Votre cause est la CIE, quoi d’autre est plus utile ?

Vous redonnez à l’homme cruel et vaniteux

Un peu de dignité, à lui ce prétentieux,

Quand vous compatissez, c’est lui qui compatit,

Grâce à vous naît l’espoir que tout homme « aime » aussi.

Et par ces quelques mots alignés sur ma page

Je veux à tous ici rendre un vibrant hommage.
Vous les antihéros des causes méprisés,

Au nom des animaux, je veux vous remercier !

Un animal humain.

Marie-Claude LEFEBVRE, in « Les Croqueurs de Vie »

 

une des nombreuses associations de sauvetage d'animaux en détresse, que j'affectionne particulièrement

www.association-galgos.fr

Marie-Catherine m'a envoyé d'autres photos mais si cruelles que je ne vous les montrerai pas sur le site, vous pouvez aller sur le leur dont vous avez l'adresse ci-dessus

par contre voici NELL adorable lévrier sauvée par la famille Marusarz qui comme plusieurs d'entre vous, mérite ce beau poème envoyé par leurs soins.

NELL connait enfin le bonheur qu'elle méritait